Cancer du col : enquête sur la mort d'une adolescente après un vaccin
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Cancer du col : enquête sur la mort d'une adolescente après un vaccin
Les autorités sanitaires britanniques ont lancé une enquête après le décès, lundi 28 septembre au Royaume-Uni, d'une collégienne de 14 ans peu après l'administration d'un vaccin contre le cancer du col de l'utérus. "L'incident s'est produit peu après que la jeune fille eut reçu son vaccin HPV à l'école", a expliqué le docteur Caron Grainger, directrice à l'antenne du NHS (sécurité sociale britannique) de Coventry, dans le centre de l'Angleterre.
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"Aucun lien ne peut être effectué entre le décès et le vaccin jusqu'à ce que tous les faits soient connus et qu'une autopsie ait été réalisée", a-t-elle ajouté, précisant que par "mesure de précaution", le lot dont était issu le vaccin administré à Natalie Morton avait été "mis en quarantaine". "Nous menons une enquête urgente et complète sur les événements entourant cette tragédie."
L'autopsie devait être conduite mardi. Le vaccin HPV protège contre deux souches du papillomavirus humain – virus responsable des infections sexuellement transmissibles les plus fréquentes – à l'origine de plus de 70 % des cas de cancers du col de l'utérus. L'adolescente est décédée dans un hôpital de Coventry peu après une injection du vaccin HPV1 Cervavix – élaboré par le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) – dans le cadre d'un programme national de vaccination au cours duquel plus de 1,4 million de doses ont déjà été administrées. Le docteur Julie Roberts, directrice de l'école Blue Coat Church of England, a expliqué dans une lettre aux parents qu'un "incident malheureux s'est produit […] et l'une des jeunes filles a souffert d'une réaction au vaccin rare, mais aiguë".
D'autres jeunes filles ont également été renvoyées chez elles après avoir souffert de vertiges et de nausées. Le laboratoire GSK a indiqué que, "jusqu'à présent, la grande majorité des réactions présumées signalées à la MHRA [agence du médicament] en relation avec le vaccin Cervarix soit étaient des maux et symptômes décrits dans la liste des effets secondaires de la notice d'information, soit étaient dues au processus d'injection et pas au vaccin lui-même".
sources : le monde du 29/09
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L'autopsie devait être conduite mardi. Le vaccin HPV protège contre deux souches du papillomavirus humain – virus responsable des infections sexuellement transmissibles les plus fréquentes – à l'origine de plus de 70 % des cas de cancers du col de l'utérus. L'adolescente est décédée dans un hôpital de Coventry peu après une injection du vaccin HPV1 Cervavix – élaboré par le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) – dans le cadre d'un programme national de vaccination au cours duquel plus de 1,4 million de doses ont déjà été administrées. Le docteur Julie Roberts, directrice de l'école Blue Coat Church of England, a expliqué dans une lettre aux parents qu'un "incident malheureux s'est produit […] et l'une des jeunes filles a souffert d'une réaction au vaccin rare, mais aiguë".
D'autres jeunes filles ont également été renvoyées chez elles après avoir souffert de vertiges et de nausées. Le laboratoire GSK a indiqué que, "jusqu'à présent, la grande majorité des réactions présumées signalées à la MHRA [agence du médicament] en relation avec le vaccin Cervarix soit étaient des maux et symptômes décrits dans la liste des effets secondaires de la notice d'information, soit étaient dues au processus d'injection et pas au vaccin lui-même".
sources : le monde du 29/09
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